► « Je n’ai jamais fait attention à son physique, son potentiel voyez-vous comptez pour moi… Mais avec le temps, allais savoir comment, j’ai commencé à discerner sa vraie beauté.

Depuis qu’il l’a connais, l’homme a toujours apprécié la jeune fille pour son potentiel littéraire et non pour son physique, lui-même le dis, il ne l’aurait pas aimé sans ça. Ni laide ni belle, la jeune femme est un condenser de petit détails qui forment un tout. Certes aux premiers abords elle semble tout au plus mignonne dans cette banalité. Voyez-vous, Nefert est le genre de personne qu’on croise dans la rue sans même s’en rappeler. Elle ne choque pas sur son passage, n’illumine pas non plus votre journée. A vrai dire elle à toujours entretenue son anonymat, par la peur de ce faire remarquer. Même les gens qu’elle côtoie habituellement ne savent la reconnaitre dans une foule. Pratique, quand comme elle on est une auteure à succès et que sa photo est affichée sur la quatrième de couverture de ses ouvrages. Son apparence ne marque pas, voilà tout. Sa taille, petite, guère plus haute qu’un mètre soixante-trois lui permet de ce faufilé habillement dans la rue sans ce faire réellement remarqué. Petite et fine, donc, avec des formes peu prononcés, elle ressemble bien plus à une adolescente qu’à une jeune femme. Son visage quand à lui, fin, ce compose d’un nez aquilin, de pommette haute et de deux grand yeux d’un gris clair, reflétant une intelligence certaine. Sa chevelure, arrivant à ses omoplates, ce situe entre le noir corbeau et le violet cerner de reflets rougeoyant. Elle ne fait que peu attention à ses vêtements préférant porté le pratique plutôt que le charmant. Elle ne s’armera pas de maquillage et ne passeras pas de longues heures devant la glace. On n’a jamais dis que Nefert étais belle mais on ne peut pas dire qu’elle est laide. Elle est ce qu’elle à put être et elle ne regrette pas. Après tout elle vit encore, c’est le principal.

► « Que puis-je dire sur elle ? Elle n’est pas la pureté ni la décadence. Elle n’est encore moins la laideur, pas plus que la beauté. Ce n’est pas une blanche colombe ni un noir corbeau, alors qu’est-elle ? La neutralité, voilà le seul et unique mot qui la définira à la perfection, celons moi.

Malgré les années passées à ses côtés, l’homme n’a jamais trouvé d’autres moyens de la décrire, pas plus que des moyens de la comprendre. Nefert est un mystère ambulant, dans ses gestes ou dans sa vison des choses, elle n’est pas quelqu’un que l’on peux attraper, que l’on peu cerner à la perfection. Elle c’est toujours employer à ce que cela soit ainsi et cela ne tend pas à changer, même aujourd’hui. Nefert, elle, à changé pourtant depuis tout ce temps. Elle est en perpétuelle modification pour s’habituer et survivre aux affres de la vie, mais ce n’est pas pour autant qu’elle à perdue l’essence même de ce qui la construisait, la liberté. Cela ne veux pas dire qu’elle est seule, des conquêtes elle en a eux, beaucoup même, dans tout les styles et dans tout les genres pourtant elle c’est efforcer de garder une certaine distance avec eux; histoire de ne pas recrée la souffrance qu’elle avait connue il y a quelque années de cela, à son commencement. Celons Nefert, l’attachement est l’une des pires erreurs existantes. C’est une jeune fille intelligente et altruiste pourtant, cela est un fait d’hors et déjà compris par ses proches quasi inexistant. Elle comprend, discerne et résolve le moindre mystère, la moindre personne, le moindres secret, ce qui n’aide pas à améliorer sa popularité. Soyons d’accord sur ce point, l’intelligence trop poussée est un mal qui ne fait que séparer les êtres vivants. Nefert est l’exemple le plus parfait pour illustrer ce propos, plus le temps à passé est plus les autres l’ont irrémédiablement rejeté. Elle n’a jamais vraiment semblé en souffrir et c’est juste plongée plus profondément dans ses histoires qu’elle à depuis son enfance aimée lire ou écrire. Entre autre, la jeune fille jouait du piano ou du violon et parfois observée le ciel durant de longues heures… Car c’était une chose qu’elle avait toujours affectionnais autant que ses deux instrument. Vous l’aurez compris, Nefert est une jeune femme calme et posée, qui a passé les plus grands moments de sa vie en retrait à regarder et étudier ce qui ce présentait à elle. Ni bonne ni mauvaise, ni belle ni laide, ni pur ni dévergondé, Nefert Emako est et resteras toujours la parfaite neutralité.

► «- Pour ta propre sécurité, pour ta santé Nefert, il faut que tu partes.
- Je ne comprends pas…
-Tu ne tiendras plus longtemps, tu dois te reposé…
- Sage… Je ne peux pas faire ça…
- Bien sûre que si Nefert, bien sûre que si.
- Je veux rester !
- Tu ne peux pas, tu ne dois pas mourir ici, je ne le supporterais pas.
- Tu es cruel Sage…
- Peut être, mais je t’aime. »


Quand Nefert naquit on ne lui donna guère plus de cinq ans, elle était atteinte d’une de ces malformations aux cœurs qui l’empêcheraient sûrement de vivre comme tous les autres. C’était une malchance comme une autre, une chose qui arrivait pour tel ou tel raison, et c’est peut être ce qui condamna son destin. Leur parents ce disputèrent pour cela, à ce sujet stupide, qui était responsable du futur malheur de leur fille ? La génitrice décida de partir, plus facile pour elle, moins de culpabilité, moins de dégoûts pour ce petit corps si banal et si malade qu’elle venait de crée. Elle laissa derrière elle un père désemparé qui malgré tout décida de s’occuper de cette enfant qu’il ne verrait sans aucun doute jamais grandir. Pourtant Nefert vécue, en fauteuil roulant certes, entouré de médecins et d’infirmière mais elle vécue. Qu’elle vie pouvait-elle avoir ainsi ? Aucune, mais au moins elle en avait une. Nefert grandis, elle grandit cinq années, puis six. Elle avait vaincue la prédiction des médecins, elle n’était pas plus fortes mais elle tenait bon contre sa maladie alors on lui donna encore vingt ans. Elle put enfin sortir de sa prison blanchâtre et découvris pour la première fois de sa vie le monde extérieur. Les trains, les gens, la froideur de la neige et la chaleur du feu, elle découvrir ce qu’elle avait toujours connue sans jamais le voir réellement, sans jamais le vivre. Ce fut une grande nouvelle pour elle, une grande joie qui lui permis d’une manière incontrôlable de croire qu’elle aussi aurait un happy end à la fin de sa vie. Elle atteint ainsi son l’âge de raison, y perdis son père dans des circonstances malchanceuse et y retrouva une mère jamais connue. C’était une belle jeune femme d’une trentaine d’année, le visage apaisant sertis de deux pupilles d’un bleu presque translucide. Sa cascade de cheveux noirs lui donnait un certain air assuré. Nefert l’aima comme une fille aimerait une étrangère, mais cela leur conviens à toute les deux, ce qui leur permis de montré aux yeux du monde une illusion de bonheur parfait. Néanmoins personne n’étais malheureux, juste dans une entière neutralité sur leur émotions et leur vie. C’est vers son onzième anniversaire que Nefert ce mis à écrire et qu’elle remporta de nombreux concours en étant toujours la plus jeune de sa catégorie. Elle y prit goût et délaissa quelques peu le piano et le violon qu’elle avait pourtant toujours pratiqué. Elle sortit son premier roman alors qu’elle n’avait que quinze ans, ce fut un franc succès. Quelques années plus tard elle rencontra Sage Pendragon, il avait dix ans de plus qu’elle, et ce fut avec lui qu’elle vécue une passion destructrice. Il devient son éditeur attitré ainsi que son tuteur à la suite de longues histoires sans grand intérêt. Ce fut avec lui qu’elle créa des chefs d’œuvres et avec lui qu’elle enfanta à seulement vingt-ans avant de vivre une fausse couche désastreuse. Nefert le quitta tout en restant proche de lui avant de pouvoir marcher convenablement sans cannes pour une fois. Elle trouva qu’elle avait fait un grand pas, elle en fut fière. Malgré tout cela son état ce dégrada d’un coup et elle dut être opéré pour survivre. Elle y survécut et il convint qu’elle devait partir de chez elle pour un pays plus lointains, pour survivre et surtout ce reposer. Elle continuerait d’écrire, il lui suffirait juste d’envoyer ses romans par mail, elle oublierait Sage, elle oublierait tout ce qu’elle avait construit avant et peut être qu’elle vivra un peu plus longtemps. On lui choisit une ville au japon pour sa rééducation. Néanmoins quand elle arriva ce fut une surprise de taille qui l’attendais, elle la pauvre innocente ne ce doutais même pas de l’existence réel des hybrides, car après tout elle ne connaissait rien au mondes, rien de plus que sa bulle et sa ville natale. Il lui fallut un an pour s’habituer, il lui fallut un an pour s’installer et pour comprendre. La jeune femme eu vint-et-un ans, elle devenus plus mature c’étais vrai. Il n’y a pas eu de happy end, mais dans tout cela, malgré son histoire quelques peu chaotique, Nefert vis encore et c’est le principal.

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