► Tu veux ma photo? Si tu reste encore là à me fixer de la sorte je te l’enfonce dans la gorge! Ben oui, j’ai la peau basanée, quoi t’a jamais vu ça de ta vie? Sort un peu de ton ghetto, ho minute c’est vrai, c’est peut-être moi qui vient d’un ghetto et toi de ta petite maison de bourge. Ben non je ne suis pas de très grande carrure. Mais je ne suis pas un nain! Hey ho monsieur le colosse de 6 pieds t’es pas une référence. Bon je mesure quoi … environ 1.64 mètre, voyez, ce n’est pas petit, mais ce n’est pas grand non plus! Je suis très dans la moyenne! Ben non je ne suis pas musclé comme un culturiste, la gonflette c’est pour ceux qui ont de quoi à compensé. Je ne suis pas maigre non plus…. Non mais les justes milieux ce n’est pas un truc connu chez toi? Athlétique je dirais, svelte, ouais, ça sonne bien. C’est plutôt même la classe, quoi que j’aie la classe en soit donc c’est normal!

Non je n’ai pas 80 ans pour avoir les cheveux blancs…. C’est naturel, pas ma faute si je ne suis pas aussi mignon et « normal » que cette bande d’humain imbu d’eux même avec un égo de la taille du mont Everest. Ha ça par contre oui, je me coupe moi-même les cheveux, c’est surement pour ça qu’ils ne sont pas égale et un peu … non toujours ébouriffés, je ne me donne que rarement le mal de me coiffer. Merci, je prends toujours très bien les compliments! Même si je les renvois rarement. Mais j’ai un très joli visage, les traits fins. Le savoir je pourrais vous dire si ça vient de ma mère ou mon père, mais bon je ne le sais pas, donc je ne le dirai pas …. Et de toute manière ce n’est pas de tes affaires! Donc non je ne sais pas non plus de qui je tiens mes yeux. Ce bleu glacial très pâle et criard, mais je les adore.

Pas très loin en faite. Je porte pas vraiment attention à comment je fait matché mes vêtements. J’en aime pas plus que d’autres, la couleur ne me dérange pas. Même si je porte souvent du noir ou du bleu ça veux pas dire que c’est pour les couleurs. Bah j’aime bien, le bleu va avec mes yeux. En faite, je porte souvent des vêtements ample pour le confort, pas pour le style, bon les pantalons plus ajusté aussi pour le confort. Le look ne me dérange pas tant que ça. Si vous aimer ou pas aussi je m’en tape. Les vêtements les plus confortables selon moi? Les hoodis, c’est super confo, j’en ai plusieurs, Des chandails à manches longues, amples, en laine. Les pantalons, les joggings, mais les skinny. Je porte aussi des converses la major partie du temps. Hier comme été en faite. C’est comme si le soulier fusionnait avec ton pied tellement t’es bien la dedans!

Quoi encore? ….. Quoi? Si je suis une fille ou un gars? …. Hahahhahahha …. Demande à TA MÈRE!

► Je vous demanderais d’arrêter de me fixer comme ça. Je n’aime pas ça. En faite pour être bien honnête, il n’y a pas grand-chose que j’aime ici bas. Les seules choses et personne que j’ai aimé m’ont été enlevé et je ne souhaite pas revivre cette expérience. Il y a bien une chose que j’aime et c’est de ne pas aimer. Plutôt ironique et paradoxal pas vrai? Mais croyez moi, vous avez surement mieux à faire que de tenter de devenir amis avec moi. Je n’ai pas de temps à perdre ni la volonté de m’excuser si je fais quelque chose qui vous indispose. Je ferai bien ce que je veux pour être bien. Si cela vous cause de l’embarra ce n’est pas mon problème. En faite, le problème, mon problème, c’est probablement vous. Je suis une personne égoïste, je le reconnais. Quand je veux une chose, je m’arrange généralement pour l’avoir.

De manière plus spécifique? Sur quoi? Mes relations sociales? Dire que j’ai des relations sociales est en soit un mensonge. Je suis bien en compagnie de moi-même, j’aime ma personne et c’est bien la seule que je tolère. La majorité des gens sont stupides et ignorants. Ils pensent tout savoir, tout faire en leur possible alors que dans le font ils font tout ça pour eux. La populace est une masse infâme d’égoïste et d’hypocrite. Je m’assume, je ne suis pas hypocrite, mais je suis égoïste. Je juge et je ne suis pas très politicaly correct quand je fais ces jugements. Je n’ai d’ailleurs … ha non faux, j’ai ma langue dans ma poche. Parce que parler est tellement inutile quand tu peux simplement faire comprendre à quelqu’un qu’il t’énerve par un simple regard. Par contre je dois avouer que je suis très facile à faire fâcher. Et dans ce moment où je perds patience, je ne mâche pas mes mots.

Non je ne suis pas une personne qui croit. Je ne crois ni en l’humanité, ni en dieu, ni en rien du tout. Ne pas croire en moi? … C’est …. Ça dépend je dirais. Mais je sais surtout qu’il n’y a rien pour vous sauvé, un jour vous vous retrouverai quelque pas, avec ou sans personne et la fatalité vous emportera. Alors avant que cela n’arrive aussi bien faire ce dont vous avez avis. Ce dont moi j’ai envie? Ça dépend encore une fois. Je ne suis pas vraiment une personne qui a des caprices… en faite je suis plutôt sobre dans ce qui me fait envie. J’ai dit plutôt que je n’aimais pas grand-chose, c’est toujours le cas. Mais il y a quand même des petit trucs, que je garde secret qui me tienne à cœur. Mais évidement cela ne sera jamais une personne. Parce que tenir à quelqu’un c’est comme tenir un couteau par la lame, un seul faux mouvement et vous vous retrouver blessé

Les émotions? Ce sont des trucs que je me tue à contrôler. Et j’y arrive plutôt bien. Ces ondes de choc électrique c’est du poison. Les gens s’y accroche, mais c’est ça qui nous mène à votre perte. Je dirais que la seule que je laisse m’envahir par moment est la colère. Les autres ne sont qu’un ramassis de problème. En plus même si je me peine à croire que l’humanité est vraiment stupide, ces crétins restent de fins manipulateur et ces si touchantes émotions comme beaucoup disent, sont des fils utilisable pour se faire manipuler. Alors moi, j’ai coupé ces fils.

Et bon j’en ai mare de vos question, allez donc demander à votre mère et foutez moi la paix!

► Je l’ai adopté ce n’était encore qu’un bébé. Bon je n’étais pas le genre d’homme à aimer les enfants particulièrement ou à jouer à la nounou, mais ce petit être m’a fait craquer. Je n’avais jamais eu d’enfant avec ma première femme. En faite, c’était elle qui ne pouvait pas en avoir. Cette dernière avait toujours voulu adopté, mais c’était moi qui m’y refusais. Je n’étais pas pour élever le gosse d’un autre, franchement. J’ai peut-être été un peu trop égoïste tout le long de ma vie avec elle. Et quand je m’en suis rendu compte, il était trop tard. Les médecins me disaient qu’il était trop tard. Je ne vous dirai pas de quoi elle est morte, ce n’est pas pertinent. Ce qui est important c’est ce qu’elle m’a dit, ce qu’elle m’a souhaité, en faite, sur son lit de mort. Elle m’a souhaité de ne pas finir ma vie seul. Évidement sur le coup ce n’était pas envisageable d’avoir une autre personne dans m’a vie qu’elle. Elle avait été mon premier amour et mon seul amour. Alors qu’elle me dise cela, n’avait aucun sens. Jusqu’à la fin je ne lui ai pas donné ce qu’elle voulait. Lui refusant jusqu’à son dernier souffle que je trouverais quelqu’un d’autre pour finir mes jours. Cela prit deux ans, deux ans de total solitude et de dépression avant que je ne la trouve.

Je travaillais à l’hôpital, du moins pour l’hôpital de la région. Et en passant, nostalgiquement dans la section de la maternité, ça m’a sauté aux yeux. L’enfant, certes c’était un hybride, je dédaignais ces êtres au plus haut point, mais … cette peau, aussi basané, mielleuse que celle de ma femme. Malgré ces petites oreilles et sa petite queue toute blanche, comme un renard. Je m’informais à l’infirmière de service. Qui était ses parents. Alors qu’elle me répondait qu’officiellement, elle n’en avait plus vraiment, comme sa mère porteuse, la plaçait en adoption. Elle ne voulait pas de cet enfant, mais elle n’avait pas voulu être un monstre elle aussi en le tuant. Elle dit alors que le département soupçonnait un viole, probablement. Et cette pauvre créature serait envoyer en foyer d’accueil ou quelque chose, peu importe. La mère n’avait même pas voulu prendre l’enfant dans ses bras quand elle avait eu fini d’accoucher. Je ne vous dis pas combien de temps je suis passé devant la vitrine à l’observé. Pas que je ne le veuille pas, mais je n’en suis pas capable, j’ai perdu la notion du temps. Ce bébé dormait, paisiblement, jusqu’à ce qu’à un moment il s’éveille. Je me souviendrai de ce moment toute ma vie. Ses yeux bleu, d’un bleu froid, qui s’ouvrir et se mirent à me fixer. C’était la réponse que je cherchais.

Les papiers furent signés peu de temps après. Pas besoin d’enquête je connaissais bien le direction du département d’adoption. Ce ne serait pas facile de s’occuper d’un enfant, mais j’avais des bonnes, jouer les nourrisses ne seraient surement pas difficile. Mais j’étais heureux. J’avais enfin réalisé les demandes de ma femme. Je ne finirai pas ma vie seul, après tout, elle n’avait jamais demandé à ce que je tombe amoureux. Et puis, elle qui avait toujours tenté de me convaincre que ces hybride étaient des êtres vivant égaux, aussi humain que nous. Peut-être avait-elle raison après tout. Non elle avait toujours eu raison.

Dire que j’avais adopté cet enfant était un blasphème. Cet enfant était le mien. Ha oui, j’ai oublié de vous dire comment je l’avais appelé. Je lui ai donné le nom de ma femme. Son nom de jeune fille. Et je l’ai appelé ainsi avant même de savoir si c’était une fille ou un garçon. De toute manière ça importait peu. Cet enfant grandirait heureux et serait heureux avec tout ce dont il rêvait, et une chose serait certaine, il ne serait jamais seul. Je tenu d’ailleurs ma promesse et combien chanceux ai-je été que cet enfant soit aussi sage et agréable à vivre dès la naissance. Comme s’il sentait qu’il avait besoin d’être particulièrement parfait pour pouvoir me plaire. Mais c’était faux. Ça aurait été un monstre que je l’aurais probablement aimé autant, mais d’une manière différente.

Je vous passe en résumé les années que nous passâmes ensemble. Son sourire me rendait heureux, son rire carillonnant était tout aussi merveilleux. Pas besoin de dire que mon enfant était ma fierté. Malgré ce que les conservateurs disaient sur les hybrides. Je vieillis avec ma nouvelle moitié et ce fut les meilleures années de ma vie. Ces années était aussi merveilleuses que celle que j’avais passée avec ma femme, même mieux, parce que je ne me préoccupais pas seulement de moi.

Par contre, à ses 13 ans, on m’annonça que j’étais malade. J’avais la même maladie que ma femme avait eut. C’était mon heure cette fois. Pourtant je n’étais pas particulièrement vieux. Je n’avais que le début de la cinquantaine. Mais rapidement mon état se dégrada, malgré la présence de Ni. Malgré le fait que Ni vienne avec moi à tous mes rendez-vous, ça ne s’améliorait pas. Ni était de plus en plus triste et s’inquiétait. Mais j’ai fait tout mon possible pour rassurer mon enfant. Parce que cet enfant était une partie de moi, m’avait accompagné et avait été la personne qui m’avait sorti du noir. Ni avait toujours cru que j’étais son père biologique, aussi absurde cela puisse être. Alors que j’étais à l’hôpital, je lui ai dit la vérité. Je n’ai jamais vu ses vrais parents, mais pour être aussi magnifique il fallait que ses parents soit tout aussi beaux. Puis, je lui ai demandé de me sourire un matin, parce que cela faisait très longtemps que je n’avais pas vu son sourire. Et à mon tour, je lui ai demandé quelque chose. Ne jamais cessé d’aimer, ou de sourire. J’ai été très heureux d’entendre sa réponse positive. C’est alors que je me suis dit que j’aurais peut-être du répondre la même chose à ma femme quand celle-ci était à ma place.

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Je n’ai pas tenu ma promesse. Comment j’aurais pu de toute manière. Je l’aimais tellement, il était tout pour moi, il était mon père. Mais non. Il n’était qu’un « maître » qu’ils les appellent. Non. Ce n’était pas vrai. J’ai tenté de me borné à tenir ma promesse, mais je n’ai pas pu. Je n’ai tout simplement pas pu. Parce que je n’avais plus rien. Un peu d’argent, oui, mais je n’allais aller nulle par avec de l’argent. Et personne n’allait être comme mon pè… maître… Ils étaient tous des menteurs. Tous, sans aucune exception. Malgré tout. J’étais à un âge naïf. J’ai donc refait confiance. Moi qui étais toujours d’un naturel doux et gentil et très serviable. Cela ne faisait plus. Ce nouveau maître à été violent. Il m’a fait mal, tellement mal. Il m’a attiré avec de belles paroles et m’a fait mal. Plus jamais, jamais je ne me ferai avoir par de belles paroles, c’est fini. Maintenant tout est différent. Personne ne connaîtra mes faiblesses, mes gouts, rien. Et je leur répondrai « TA MÈRE » !

► Ton âge :21
► Tu penses quoi du fow : trop mignon
► Comment as-tu découvert le forum :on est partenaire sur monster!
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