Saphiron est un hybride entre un humain et ce qui pourrait être assimilé à un dragon. Il mesure plus d’1m 90, possède une puissante musculature. Ses caractéristiques sont des oreilles ressemblant à des « nageoires », une paire de cornes sur la tête, si ses pieds et son bras droit sont ceux d’un humain normal, son bras gauche est une patte gigantesque, couverte d’écaille bleu et capable de transpercer un mur de béton avec. Il a une queue d’écaille, bleu elle aussi, de plus d’un mètre au postérieur. Ses cheveux sont de couleurs vertes et ses yeux sont « humain » mais ont une couleur dorée assez étrange. Il a s’habille de vêtement simple, quand à le peux, à savoir jean tee-shirt et converse, même si son désir secret est de s’acheter un complet armani car il aime bien le nom « armani » , mais dans le présent, dû à sa « condition », il porte plutôt une camisole de force blanche.

Saphiron est une personne profondément égoïste. Il se moque du sort des autres hybrides, ou même celui des humains, il applique la politique du « tu me laisse tranquille et je te laisse tranquille » avec tout le monde, et se fait aussi discret que possible pour avoir la paix, bien que ça soit dure avec son apparence très voyante. Il n’est pas agressif tant que vous ne l’embêtez pas et que vous ne lui demandez pas d’effort, mais le moyen sûr d’obtenir quelque chose de lui est de lui promettre des boîtes de…Whiskas, donnez lui une dizaine de boîtes, il sera même prêt à tuer pour vous. Il a une idée assez ouverte sur le bien et le mal, autrement dit, il considère ce qu’il fait est toujours bien et seuls les autres font le mal, lui a toujours raison et les autres toujours tort. Il n’est pas foncièrement mauvais, mais l’isolement l’a rendu pratiquement insociable et tendance à lui faire croire qu’il est « seul » au monde, à comprendre qu’il en est le centre.

Saphiron lui même ne sais pas d’où il viens, sa mémoire est constellé de trou, ne se souvenant que de quelques brides de sa vie en liberté. Il vivait autrefois dans les égouts, un lieu crade mais calme et paisible où il était seul. Puis ils sont arrivés et l’on prit pour un de ces « rebelles ». Il avait cherché à s’expliquer mais on l’avait assommé avant qu’il ne puisse dire quoique ce soit. Il se réveilla dans une cellule, sombre, couverte de sang, que ce soit le sol, les murs ou le plafond. Il était attaché à une sorte de table d’opération, mais il sentait d’avance qu’il n’allait pas être « soigné » ici, et cela fait maintenant trois ans que ça dure, et son seul but est de sortir de cette pièce qui est devenu son monde et son cauchemar.